Citations correspondant à « cousiné » : 47 citations trouvées dans le Littré (40 affichées)
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Elle est cousine germaine de M. de Louvois SÉVIGNÉ 4 germain, aine [1]
Quoi ! ma cousine, vous y revenez DESTOUCHES Fausse Agnès, III, 11 revenir
Cousine, il te connaît, et t'en veut tout de bon CORNEILLE le Ment. III, 5 vouloir [1]
Depuis peu chez ma cousine, Qui jeûnait en carnaval BÉRANGER Le voisin. carnaval
Votre cousine a pris l'habit à Montmartre SÉVIGNÉ 300 habit
Depuis que chez ma cousine Qui jeûnait en carnaval.... BÉRANGER Voisin. jeûner
Elle [votre cousine] y a fait merveilles SÉVIGNÉ à Bussy, 15 janv. 1687 merveille
Pour écrire pis que pendre à madame sa cousine HAMILTON Gramm. 8 pendre
Tu es prise, pauvre cousine, tu ne peux plus t'en dédire ROUSSEAU Hél. V, 13 pris, ise
Ce M. le comte ne t'épousera point, ma cousine ; il est de qualité DANCOURT l'Opéra de village, sc. 9 qualité
Le mariage va me ranger ; je n'aurai des yeux que pour ma petite cousine PICARD Vieille tante, III, 5 ranger [1]
Ah ! cousine, que cette visite m'embarrasse à l'heure qu'il est ! - Il est vrai que la dame est un peu embarrassante de son naturel MOLIÈRE Critique, 2 embarrassant, ante
Oui, cousine, oui, maîtresse, oui, charmante future, et tout ce qui m'est le plus cher dans le monde MARIVAUX Pays. parv. 2e part. futur, ure
Aux chevaux du porte-lumière [Apollon] [il] Supposa maquerellement La cousine d'une jument SCARRON Virg. VII maquerellement
Le duc de Fronsac va épouser votre cousine ; jamais homme n'a mieux réussi à la cour MAINTENON Lett. au duc de Noailles, 12 janv. 1711 réussir
Elle [Mme de Coligny] le veut faire [son enfant] à l'image et semblance de sa cousine de Grignan BUSSY-RABUTIN Lett. à Mme de Sévigné, 26 déc. 1675, dans SÉV. t. IV, p. 302, édit. RÉGNIER semblance
Je me vois, ma cousine, ici persécutée Par des gens dont l'humeur y paraît concertée MOLIÈRE Mis. v, 3 y [2]
Oui, croyez ma cousine, et faites votre compte Que ce jeune éventé vous couvrira de honte VOLTAIRE Indiscr. sc. 18 compte
Allons faire un tour de cuisine ; Quand j'aurai déjeûné, j'irai voir la cousine DESTOUCHES Homme sing. I, 8 tour [2]
S'il vous souvient aussi, dès lors un trait de flamme Des yeux de ma cousine avait blessé votre âme ROTROU Bélis. IV, 2 cousin, ine [1]
Mon fils me parle de la grosse cousine d'une étrange façon ; il ne désire qu'une bonne cruelle pour le consoler un peu SÉVIGNÉ t. VII, p. 649, p. 17, dans POUGENS cruel, elle
Ma cousine, me dit-il, je crois que le nom de fadaises est le plus convenable ; la plupart des choses qu'on fait, qu'on dit et qu'on imprime méritent assez ce titre VOLTAIRE Cather. Vadé, préface fadaise
Et je sais encor moins comment votre cousine Peut être la personne où son penchant l'incline MOLIÈRE Mis. IV, 1 incliner
Nous n'avons garde, ma cousine et moi, de donner de notre sérieux dans le doux de votre flatterie MOLIÈRE Préc. 10 sérieux, euse
Cette vision qu'on avait voulu donner au coadjuteur, qu'il y aurait un diamant pour celui qui ferait les noces de sa cousine... SÉVIGNÉ Lettres inédites, publiées par Capmas, Paris, 1876, t. I, p. 244 diamant
Le pauvre diable [un parent de Mlle Corneille] arrive mourant de faim.... quand il est un peu refait, il dit son nom et demande à embrasser sa cousine VOLTAIRE Lett. d'Argental, 9 mars 1763 refait, aite [1]
Pour de l'esprit, continua-t-il, je ne crois pas qu'une substance céleste puisse en avoir plus que votre cousine : en un mot, c'est une personne d'un mérite accompli LESAGE Gil Bl. IV, 6 substance
On ne peut pas être moins capable de la triplique que je le suis, ma belle cousine ; pourquoi m'y voulez-vous obliger ? BUSSY-RABUTIN Lett. à Mme de Sévigné, 31 août 1668, dans SÉV. édit. RÉGNIER triplique
Consolez-vous, bonne cousine, de n'avoir pas vu les glandes des crucifères ; de grands botanistes très bien oculés ne les ont pas mieux vues ROUSSEAU Lett. élém. sur la bot. Mél. t. VII, p. 135, dans POUGENS oculé, ée
Le pape [Grégoire VII] était alors dans la forteresse de Canosse sur l'Apennin avec la comtesse Mathilde, propre cousine de l'empereur VOLTAIRE Ann. Emp. Henri IV, 1077 propre
Le coadjuteur.... qui est engagé de marier sa cousine d'Harcourt.... cette affaire s'est retardée d'un jour à l'autre, et ne se fera peut-être que dans huit jours SÉVIGNÉ 13 retarder
Le marquis : Sans votre respect, je lui aurais appris [au laquais] à connaître les gens de qualité. - Élise : Ma cousine vous est fort obligée de cette déférence MOLIÈRE Critique, 4 déférence
À moins, ajouta-t-elle, qu'elle ne veuille partager le mien [lit] ; qu'en dis-tu, cousine ? mon malheur ne se gagne point ROUSSEAU Hél. VII, 11 gagner
Je crois notre cousine fort sage ; mais je vous le crois très peu MAINTENON Lett. à d'Aubigné, 28 fév. 1678 le, la, les [2]
Uranie : Quoi ! cousine, personne ne t'est venu rendre visite ? - Élise : Personne du monde MOLIÈRE Critique, 1 personne
Je me suis souvenue de la manière d'enterrer des feuillantines ; toutes ces saintes filles se prosternèrent trois fois avant que de jeter ma pauvre cousine dans sa fosse SÉVIGNÉ 611 prosterner
À la mention de ce mariage, elle [la duchesse d'Orléans] se douta pour la première fois que Mme de Castries fût sa cousine germaine, et tout aussitôt chaussa le cothurne sur l'indigne alliance des Nolent SAINT-SIMON 434, 36 cothurne
Vous donnant des conseils de cousin à cousine, Il prétend vous tirer de vos égarements, Et par même moyen savoir vos sentiments LA FONTAINE Florentin, I, 6 cousin, ine [1]
J'étais tout près de vous faire une rabutinade, ma chère cousine, sur ce que je ne recevais pas la réponse que vous deviez à ma lettre du mois de janvier BUSSY-RABUTIN à Mme de Sévigné, dans BESCHERELLE rabutinade
Mademoiselle, cousine germaine du roi, Mademoiselle destinée au trône SÉVIGNÉ 9 trône